
Chez les heureux du monde, d'après le roman du même nom d'Edith Wharton, fait parti de ces films dits classiques : bonne mise en scène, beaux costumes, beaux décors, bons comédiens, bonne intrigue. Oui, certes. Mais il y a plus, chez Terence Davies : une émotion impalpable, une mélancolie sourde qui, si on n'y prend pas garde, vous submerge. Chez les heureux du monde, c'est l'histoire tragique de Lily Bart, une femme qui cherche son destin.
New York, 1905. Lily Bart (Gillian Anderson), 29 ans, orpheline ruinée, cherche à faire un...
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