
On ne laisse pas les grands succès vivrent sereinement. Dernièrement, on a appris que le classique des classiques de la littérature de Sécession, Autant en emporte le vent, écrit par Margaret Mitchell et adapté en 1939 à l'écran par Victor Fleming (enfin, surtout David O. Selznick, mais c'est une autre histoire), allait bénéficier d'un "préquel", mot barbare qui signifie suite, ou plutôt un prologue à l'histoire originale.
Autant en emporte le vent est le film que j'ai dû voir le plus grand nombre de fois. J'ai mis dix ans avant...
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