
Le cinéma français des années 50, contrairement au cinéma américain, me reste étranger. Les scenarii, la façon de filmer, les sujets, tout y est déjà démodé. Même les jeunes personnages sont vieux. Sans doute, ainsi que nous l'avions évoqué pour la Peau douce ou Martine Carol, parce que la France de la IVe République fut vieille avant même d'avoir été jeune. Ce constat est éclatant dans le film qui nous occupe ici. En cas de malheur, malgré l'éblouissante beauté de Brigitte Bardot, est désespérant d'ennui.
Yvette Maubert...
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