
Curieusement, à l'exception de l'Ange bleu, je n'avais, jusqu'à présent, jamais pu admirer les oeuvres du tandem Sternberg-Dietrich (ou du trio Sternberg-Dietrich-Banton). La rétrospective Sternberg à la Cinémathèque de Paris m'en donne l'occasion, avec Shanghai Express. Le résultat? un film aux jeux de lumières éblouissants, une Marlène plus star que toutes les stars, un partenaire insipide, une Chine pittoresque recréée, un train comme seul lieu d'action, et une histoire, euh, très convenue.
Années 30. En pleine guerre civile...
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